«...dans la poésie qui lui est propre, elle ne cesse d’inventer son propre langage à l’intérieur de la langue persane. Dans ses poèmes, elle explore, avec minutie, tout un monde muet, abandonné, non-dit ou non-écrit. En effet, chez Pourazizi, l’immanence de l’écriture rime avec la transgression. Avec une générosité implacable, elle offre, sans compter, la liberté au poème. C’est coûteux, c’est dangereux mais c’est à ce prix-là que la poésie, sa poésie, s’écrit.»
Lecture de poésie, l'Université du Sur-Sault, Saint-Benoît du Sault, 2024. à venir